En marchant vers l’appartement des filles, je ne peux m’empêcher de remarquer quelques bâtiments abandonnés et le triste état de certaines maisons. Leur appartement dispose de tout le nécessaire, il ne manque qu’un matelas à Viktoria. Nous discutons d’avantage autour d’un thé et de sucreries alors qu’ils me parlent de voisins tapageurs, de coupures d’électricité et de toilettes qui fuient. Maria parle également de trouver le véritable amour et Viktoria de ses aspirations à travailler dans l’industrie de la mode. Alors que je commence à prendre leurs photos, j’ai l’impression que nos routes vont se croiser à nouveau.